[Eniripsa] Eniphia

Nom : Inconnu...
Prénom : Eniphia
Surnom : Eni, Nyphia, Nini
Classe : Eniripsa
métier : Alchimiste
type : Soin
arme de prédilection : Baguette
Âge : 17 ans

Caractère : Eniphia est avant tout une jeune fille suréxitée. Elle adore faire des choses aussi farfelus que imprévisible, avec toujours un grand sourire. Coquine, elle adore draguer, et rendre jalouse les autres filles. Elle aime les rendre jalouses, mais elle en est elle-même jalouse. Allez savoir pourquoi... Au fond, elle est tendre, douce, et timide. Mais toujours aussi imprévisible.
Physique : De longs cheveux bleus encadrent son petit visage, avec ses yeux roses. Une paire d'aile rose, suivant avec sa peau d'un rose pâle. De courts habits bleu tendre, comme ses cheveux.
Equipement : Rien pour le moment, j'aimerais qu'elle déniche ses objets au fur et à mesure de ses aventures ici.
Autres : Elle a une passion pour élever toutes sortes de bêtes, et 6 bworky l'accompagne, 1 écureil chenapan, 1 chacha blanc, 5 chienchien noirs, ainsi que 1 Fotome, 2 corbacs, 1 bwak de feu, 3 bouloutes, et 1 El Scarador. Une vraie animalerie !

Histoire :

1/2

"C'est une fille !"
Un orage éclata sur la forêt maintenant en deuil. La pluie battante tombait sur le toit d'une petite maison en bois de frêne. Dans cette maison, deux petites bougies éclairaient la seule pièce. Des éclats de sanglot d'un bébé accompagnèrent le bruit de la pluie. Une jeune femme était allongée, encore tremblante sur le seul lit, reprenant sa respiration avec douleur. Un
grand homme porte le nouveau né dans ses bras avec un visage attentionné. L'enfant était si maigre, et si petit ! Effectivement, pendant qu'elle était dans le ventre de sa mère, celle-ci avait un minimum de nourriture pour survivre. Ils étaient pauvre. La mère était une eniripsa, aux ailles roses et aux habits noir. Le père, était un grand féca, aux visage doux comme un bouftou, et aux cheveux bleu, ainsi que ses habits. Il jugea préférable de prendre une bonne nuit de sommeil, avant de décider ce qu'ils allaient faire de ce bébé.
Le lendemain, à 6 heures du matin, la jeune fille dormait à poing fermait, tandis que ses parents discutaient.
"Chérie, nous n'avons pas les moyens pour nous nourrir, alors avec un bébé en plus, nous courrons à la catastrophe !"
Le féca avait une voix grave, mais douce à la fois. Il n'arrêtait pas de fixait le bébé d'un air tendre.
"Tu...Tu ne voudrais tout de même pas l'abandonner ?"
La nouvelle mère avait une voix inquiète, effrayée. Elle avait les larmes au yeux, et affichait une mine fatiguée, souffrante de l'accouchement, et souffrante de famine. Un soupire s'échappa de la bouche de son mari, qui prit un air triste.
"J'ai bien peur que oui..."
La femme éclate en sanglot, et son mari viens la réconforter en la prenant dans ses bras.
L'après-midi, sur la place d'Astrub près du zaap, l'homme de la petite maison parle avec un grand écaflip richement habillé.

Bien des années plus tard, dans le petit village d'Amakna, une jeune fille rentrait comme à son habitude de son école, spécialiser pour l'apprentissage des Eniripsas. Cette petite eniripsa, de son physique bien étrange, marcha paisiblement, insouciante vers son village natal. Elle passa sur un pont traversant la rivière Kawaii, qu'elle connait si bien. Elle marchait maintenant sur le sol remplis de pavés, et fesait des signes de main à certaines personnes que la jeune fille voit régulièrement. Au bout d'un petit moment de marche, elle entra dans une petite maison près de la boulangerie, en reniflant la bonne odeur de pain. Sur sa peau rose, un petit sourire malicieux s'exprime, avec des yeux roses pétillant comme jamais.
Néanmoins, une chose l'intrigua : elle était seule. Elle siffla donc, pour voir si une présence l'entourait. Un écaflip au pelage blanc, vêtu d'une cape vert décoré par des fleurs descendit, avec une lettre à la main. L'eniripsa regarda d'un drôle d'oeil cette lettre, et une boule d'angoisse grossissait dans sa gorge. L'homme s'assit sur une chaise, et la jeune fille se metta devant lui, et l'écouta.
"Je veux être franc avec toi, pour ne pas faire durée le suspense... Mais, sache que je ne suis pas ton vrai père. Un ami féca m'a demandé de te surveiller. Sache aussi, que ton père était un brave homme, qui n'avait pas les moyens. Il m'a donné cette lettre, qui t'es destiné."

Citation :

_Ma petite fille, ou ma grande, plutôt ! Tu dois avoir bien grandit. Que tu dois être belle, venant du ventre de ta mère !
Nous sommes navrés, de ne t'avoir pu garder. Nous ne voulions pas te faire prendre des risques, et nous t'avons confier à Berane, un ami à moi.
Ta mère était très triste, tu sais. Elle n'a pas arrêté de pleurer ! Nous t'aimons très fort, ma petite puce. Et nous t'aimerons toujours...

Elle versa une larme, et l'essuya aussitôt. La jeune fille monta dans la chambre lentement, en posant la lettre délicatement sur la table. Arrivé en haut, elle pleura toutes les larmes de son coeur...

2/2

Les années passèrent, elles avaient repris un cours normal. L'eniripsa allait à ses cours, restait la première de la classe, gardait sa côte auprès des garçons, taquinait son père...adoptif. Seul ce mot c'était ajouté à sa vie. Malheureusement pour elle, un autre allait bientôt faire surface.
Depuis plusieurs jours, la jeune fille avait remarqué l'absence régulière de son père, elle ne comprenait pas, et demanda un soir, pendant le dîner.
"Pa', pourquoi t'es jamais là quand je rentre ?
_Alala, si tu savais ! J'ai rencontré une charmante Sadidette, et je pense que se sera bientôt ta mère adoptif !"
A ses mots, quatre yeux rêvassaient, plein de bonheur à ses paroles.
Il ne fallut pas beaucoup de temps, pour que ses paroles se réalisent. Une sadidette bronzé, aux cheveux blancs et aux habits blancs avaient emménagé dans la petite maison. Au début, tout allait bien, les deux jeunes filles s'apprécier, mais au fur et à mesure...
"Papa ! White a encore été méchante avec moi ! Je la déteste !"
Elle pleurait souvent, à cause de cette sadidette nommé White, et à chaque fois, Berane lui fessait la morale.
"Eniphia ! Comment est-ce que tu peux dire ça ?! C'est ta mère !
_C'EST PAS MA MERE ! TOI T'ES MEME PAS MON PERE ! "
A chaque fois, Eniphia courrait dans sa chambre, et pleurait comme une madeleine.

Les semaines passèrent, un mois. Eniphia, l'eniripsa, détestait de plus en plus cette Sadidette...Ainsi que son père adoptif. Bien évidement, une grosse dispute éclata, et se fut fatal. Berane l'a mis à la porte, et elle était bien heureuse ! Plus de Sadidette méchante, se disait-elle. Mais ses ennuis ne fesaient que commencer...

La jeune fille errait dans la rue, sans argent. Heureusement pour elle, en fuyant son village, elle trouva une maison battit autour d'un arbre, qui avait l'air accueillant. Le propriétaire des lieux lui fit apprendre le métier d'alchimiste. Elle qui aimait les fleurs, elle les aimait encore plus ! Grâce à ce nouveau métier, elle put survivre, et même faire son petit buisness !

Voilà quelque années qu'Eniphia vivait ainsi, elle rencontra pas mal de gens, comme son meilleur ami, Darktachy, un écaflip qu'elle considérait comme son père, Gevodon. Étant donner que se Gévodon avait un fils, c'était son grand frère, Utopik, alias Uto. Notre jeune héroïne refessait sa vie, joyeuse comme jamais.



/Hrp : Bon bah, voilà voilà, désolé pour le double-post, hein, mais si non ça allait être trop grand... Bwef, j'espère que ça vous à plus :'D.

Fiche validée
Fais tout de même attention aux quelques fautes.

-Un réveil un peu...douloureux [Terminé]
-Parce qu'après tout, c'est bon le sanglier.